jeudi 13 mars 2008

Père Nicolas Buttet


Père Nicolas Buttet


A qui de droit (19-11-07) : sur environ 200 articles publiés (notamment sur http://monde-info.blogspot.com, http://rebelles.info, http://leblogdrzz.over-blog.com, http://juif,org) entre avril et novembre 2007, trois articles seulement ont traité, en partie ou en particulier, des « communautés nouvelles dans l’Eglise catholique ». Ces trois articles ont été publiés les 6 septembre, 10 septembre et 1er octobre 2007. Dans ce cadre, l’abbé N. Buttet a été mentionné de façon indirecte, sans être nommément cité. Il se trouve que j’ai expérimenté certaines réalités avec l’abbé en question. Que lorsque je mis un terme à cette expérience, l’abbé, alors que je passais à sa communauté, au printemps 2003, prendre quelques affaires m’appartenant, me demanda, entre autre, si je venais récupérer ma bible « pour me torcher le cul avec ». Il me déclara, aussi, qu’il espérait que je ne vivrai pas trop longtemps « afin de ne pas finir en enfer ». L’été 2003, il m’envoya un mail m’interdisant de diffuser mes articles aux membres et même aux amis de sa communauté. Une interdiction d’autant plus ridicule que d’une part, tous mes articles étaient à l’époque (et sont encore aujourd’hui) publiés sur Internet ; et que d’autre part, mes articles en 2003 ne traitaient pas de l’abbé en question et de sa communauté. Le 6 septembre 2007, j’ai publié un article qui, entre autres sujets, mentionnait, sans les nommer, l’abbé en question et sa communauté. L’abbé m’a alors – de nouveau – gratifié d’un mail ou il me traite de « pauvre… » et me reproche des soi-disant faits, anciens, qu’il ne m’avait jamais reprochés du temps où il en avait pourtant la possibilité concrète tous les jours. J’ai par la suite publié, d’une part, un deuxième article, le 10 septembre, mentionnant, entre autres sujets, l’abbé et sa communauté. Et d’autre part, un troisième article, le 1er octobre, plus général, sur les communautés nouvelles dans l’Eglise catholique. Dans ce contexte, certaines personnes nous connaissent bien (ou disent bien nous connaître), tant l’abbé en question que moi-même. Mais ces personnes qui prétendent « bien me connaître » ignorent les propos que l’abbé m’a adressés, par oral et par écrit, en 2003 et en 2007, propos que je signale, ci-dessus, dans la présente note. Et ces mêmes personnes qui prétendent « bien me connaître » n’ont pas lu les trois articles (http://monde-info.blogspot.com les 6 septembre, 10 septembre et 1er octobre 2007) également signalés dans la présente note. Enfin, ces personnes, que je sache, n’ont pas pris connaissance de mes deux publications, « Du vin de vertige à la coupe du salut », paru en 2006 ; et « Dieu est-il dépressif ? », paru en 2007. C’est notamment afin de fournir à ces personnes un complément d’information, que j’ai rédigé la présente note. Je ne fais pas, à ce stade, une large diffusion de la présente note. Cependant, les personnes qui soi-disant me connaissent bien et qui sans avoir lu l’ensemble des trois articles susmentionnés, se prononcent sur la petite affaire résumée dans la présente note (par exemple, Mlle R. Dayer, par écrit, cet automne et Mlle L. Gilbrin, par oral, cet automne également), les personnes donc, qui se prononcent sur cette petite affaire, s’exposent – évidemment – à la possibilité de tomber sur la présente note ou toute autre précision de ma part. Je relève en passant que Mlle R. Dayer mentionnée plus haut a quitté la communauté de l’abbé en question, en 2006, après 10 de vie consacrée et alors qu’elle s’était engagée, par ses vœux, à rester à vie dans cette communauté dont elle fut d’ailleurs cofondatrice. Vu sous cet angle plutôt chaotique, on aurait sans doute mieux fait de me laisser écrire et exercer mon métier librement, plutôt que de m’envoyer des mails douteux ou prétendre bien me connaître. Car moi aussi, je connais bien certaines gens, certaines choses et je suis plutôt bien informé. Qu’un abbé tiennent les propos qu’il a tenu à mon égard (et à l’égard d’autres personnes que je connais très bien, par exemple M Y. Meyland qui lui, s’est fait traiter, y compris par sms, « d’enculé » et de « trou du cul », pour ne citer qu’un exemple parmi beaucoup d’autres) qu’un abbé, donc, tiennent les propos qu’il a tenu à mon égard, voilà qui n’est pas très reluisant. Que de surcroît, des personnes qui prétendent « bien me connaître » (par exemple Mlles R. Dayer et L. Gilbrin), demeurent, volontairement ou involontairement, dans l’ignorance des faits résumés dans la présente note, cela, personnellement, ne me paraît pas équilibré. Et je pèse mes mots, car sur le fond, tout cela me semble, en réalité, assez abject. L’abbé en question a fait preuve d’arrogance, de présomption et de sectarisme à l’égard de bien des personnes qui, à un moment donné ou un autre, ont décidé, comme moi, de poursuivre leur chemin de foi ailleurs qu’avec cet abbé et sa communauté. Cette arrogance, cette présomption et ce sectarisme, de la part d’un abbé, ordonné prématurément, en plus à l’étranger, hors de sa juridiction, par un évêque ami, question de rendre l’histoire encore plus douteuse et, de surcroît, ordonné sans avoir suivis un seul jour de séminaire, tout cela démontre que les ordinations, ne respectant pas, les procédures normales et habituelles proposées par l’Eglise, peuvent produire des prêtres immatures qui tiennent – on l’a vu ci-dessus – des propos graves et irresponsables entraînant un tort moral considérable pour autrui. Je pensais déjà cela en 2003. Au vu de ce qui est arrivé depuis, je le pense, encore plus, en 2007. Et je ne suis pas le seul. Les départs de personnes en accueil, les départs de postulants, de novices et même de consacrés à vie, tout cela tandis que l’abbé en question continue de se gargariser un peu partout avec ses jolies conférences, ces départs donc, ont des conséquences, pour les personnes concernées ; et j’ai suffisamment de témoignages sur ce sujet. Petit détail : le service marketing d’une école de jeunes, patronnée par l’abbé en question, a récemment ajouté, mon adresse professionnelle, sur son listing d’envois publicitaires. Alors que le gérant de la dite école m’avait signifié, peu avant cela, son désir de ne plus être informé lors de la parution de nouveaux articles sur mon blog : Monde-Info. Là encore, c’est une fois de plus l’arrogance et l’incohérence qui l’emportent, notamment au vu des faits énoncés dans la présente note (voir ma petite Nota Bene du 2 novembre, qui précède un article, daté du même jour, traitant d’un tout autre sujet, sur http://monde-info.blogspot.com ). Sur, d’une part, le réel taux (ou pourcentage) de « guérison » parmi les personnes en accueil ; et sur, d’autre part, les consacrés qui quittent la dite communauté (de l’abbé susmentionné), c’est aux autorités ecclésiastiques indépendantes et compétentes – et non à moi – qu’il incombe, à priori, d’enquêter. Monde-Info se concentre, essentiellement, sur l’actualité politique internationale ; et très accessoirement, sur l’actualité religieuse locale. Cela dit, je me réserve le libre droit, de reprendre le sujet, si ma conscience me le dicte. Car c’est mon métier de journaliste depuis 1980. Car certaines gens, qui disent « bien me connaître », non seulement ne me connaissent pas bien du tout. Mais de plus, ces gens semblent mal se connaître eux-mêmes (y compris leurs blessures, symptômes, etc).


Epilogue (30-11-07) : suite à la note « A qui de droit » ci-dessus (datée du 19-11-07), le Père N. Buttet a inquiété autrui (M. J. Tissières, le Père Cettou et M. P. Pralong). J’ai réagit à ces manoeuvres d’une part, en signalant que personne ne souhaitait exercer des pressions morales ou psychologiques sur moi ; et qu’il était donc inutile d’inquiéter autrui ; et d’autre part, en signalant que l’affaire susmentionnée n’était plus du ressort du laïc que je suis (c’est à la hiérarchie de l’Eglise de donner suite ou de ne pas donner suite à ce genre d’affaires).

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