dimanche 13 avril 2008

François de Siebenthal est-il malade mental ?

Depuis mon article traitant de l'Opus Dei, article publié en mars, je n'ai tout simplement pas eu le temps, de commenter, les réactions débiles, du monsieur (fds) cité en titre du présent article. Je reviens, aujourd'hui, sur les réactions débiles du monsieur en question (fds), pour la simple et bonne raison, que celui-ci (fds) et quelques autres dan son entourage aussi, n'ont apparemment pas encore compris, où je voulais en venir, dans mon article sur l'Opus Dei, paru en mars.

Reprenons. Suite à la publication de mon article sur l'Opus Dei, fds a molesté mon épouse au téléphone. Il a molesté mon épouse au téléphone notamment en lui demandant, à elle, mon épouse, que j'arrête d'écrire, moi, des choses sur lui, fds. Oui, je sais, c'est débile.

Mais malgré son appel au calme, auprès de mon épouse, fds, de son côté, s'est plutôt déchaîné. Il s'est déchaîné par le biais de mails débiles et de coups de téléphone débiles adressés à deux ou plusieurs personnes. Il s'est également déchaîné en postant des commentaires débiles sur quelques blogues.

A vrai dire, je supporte assez mal, les individus, qui tout en prêchant le calme aux autres, sombrent eux-mêmes dans l'excès des réactions débiles (le seul moyen d'obtenir que l'un de mes articles soit retiré du net, c'est d'en faire la demande à google; le reste n'est que vaniteuse intimidation). Je supporte encore plus mal, les individus, qui plutôt que de se documenter à mon sujet, préfèrent réécrire ma biographie.

Je précise cela, car il se trouve que j'ai publié, en janvier 2006, une autobiographie on ne peut plus transparente, "Du vin de vertige à la coupe du salut". Et qu'il se trouve que cette publication a reçu bon accueil dans la presse. Or, il y a quelques individus - tel par exemple fds et quelques autres dans son entourage - qui voudraient que le temps se soit arrêté, mettons il y a peut-être quatre ans en arrière ou même plus que cela. Ces individus ne veulent pas admettre la réalité de la publication précitée. Ces individus ne veulent pas non plus admettre la réalité de ma deuxième publication, "Dieu est-il dépressif ?", sortie en février 2007. Enfin, ces individus ne veulent pas non plus admettre la réalité du temps présent, à savoir que les articles que j'écris sur mon blog créé il y a un an, sont repris, tantôt quotidiennement, tantôt occasionnellement, par une dizaine de sites et de blogues francophones. Si j'ajoute à cela que j'ai débuté dans le journalisme rémunéré en 1980 et qu'aujourd'hui il m'arrive d'être invité à Paris et ailleurs pour donner des conférences sur le Moyen Orient, les individus spécialisés dans les réactions débiles vont sans doute attraper des crampes d'estomac ou peut-être même une forte diarrhée. Ce serait en tous les cas leur diarrhée et pas la mienne.

Il est hautement maladroit de prêcher le calme, tout en cherchant (en plus à travers autrui et dans mon dos) à exercer des pressions sur moi, par le biais de contacts ( téléphones, mails, commentaires postés sur le net, toujours dans mon dos) par le biais de contacts écrivais-je, auprès de personnes qui me connaissent très bien tel que je suis et qui pour la plupart d'entre elles me voient régulièrement et ce depuis au moins quatre ans voir beaucoup plus.

Je sais par expérience que dans la vie, il faut parfois anticiper la bêtise et la méchanceté du genre humain. C'est précisément la raison pour laquelle j'ai écrit et diffusé "Du vin de vertige à la coupe du salut", sortit en janvier 2006. C'est précisément la raison pour laquelle, à une époque, j'ai témoigné de mon parcours dans des églises et à la radio.

Aujourd'hui, il est vrai, j'ai d'autres priorités. Je connais bien - c'est un euphémisme - une personne qui s'est faite plumée par fds au point de finir en acte de défaut de bien. A cet égard, fds aurait mieux fait de rester calme - et surtout de fermer sans grande bouche - au lieu de sombrer dans l'excès des réactions débiles mentionnées plus haut dans cet article. Puisque fds a molesté mon épouse par téléphone - erreur stupide et fatale à ne jamais commettre - je ferai ici une petite confidence: devant trois témoins, l'épouse de fds, munie d'une comptabilité idiote aux seuls fins de dédouaner son époux, a affirmé, que son époux est un malade. Alors soit, il n'y a ni voleur, ni escroc, ni menteur. Il n'y a qu'un malade mental. Mais dans ce cas, que le malade se taise et surtout, qu'il se soigne.

J'ajoute qu'en ce qui me concerne, mon outil de défense, c'est tout simplement mon métier de journaliste et comme écrit plus haut, on peut toujours demander à google de retirer l'un de mes articles du net si vraiment on s'estime lésé.

Mais d'autres personnes lésées, qui ne disposent pas d'un tel outil - j'essaye de me mettre à leur place - peuvent parfaitement ne pas supporter de s'être faites flouées par tel ou tel gros pouf et décider de lui corriger vigoureusement les fesses (les fessées adultes administrées à un adulte ne constituent pas un délit pénal).

A cet égard, certaines caricatures parues dans la presse, avec entonnoir sur la tête et culottes courtes imbibées de pipi, résonnent comme un appel. Un appel au calme, bien entendu. Il est désormais inutile de molester autrui (par mails débiles, par coups de téléphone débiles ou via des commentaires débiles postés sur le net) à propos de mes écrits. Le net, contrairement aux médias classiques, c'est la liberté. Si des idiots - je parle ici uniquement de fds et de ses compères - jouent à cache-cache avec moi (à propos, merci à Singe Vilain pour ton soutient complice), je continuerai néanmoins d'écrire, ce que je veux, quand je veux et comme je veux.

Les idiots fdsiens susmentionnés plus haut ne me font pas peur. J'ai sur eux des dossiers gratinés accumulés ces quatre dernières années. Même si ces idiots sont, admettons, malades, ce qui, d'ailleurs, reste un alibi quelque peu léger. Sur ce point particulier, j'en ai terminé. Mais je vous dis quand même : peut-être à plus tard ; pour le cas ou tel ou tel "malade" continuerait de chercher à m'esquinter les nerfs. En attendant, bon traitement à ceux qui en ont besoin. J'ai connu cela. Ce n'est jamais qu'une étape à franchir. Mais en silence si possible.

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